Selon L’AS, les jeunes qui se droguent avec le diluant cellulosique
communément appelés « guinzmen », qui squattent le pont de l’émergence,
sont revenus à leur lieu de prédilection. Auteurs de plusieurs
agressions nocturnes et diurnes, ces délinquants en herbe, qui étaient
chassés par les populations, ont repris leurs activités illicites.
En
plus les acteurs du transport urinent à l’espace vert situé sous le
pont sur l’axe Patte d’oie Yoff. Donc saleté, anarchie, insécurité
cohabitent au pont de l’Emergence. C’est dire que le danger a refait
surface. Et pourtant, quatre policiers ou gendarmes suffisent pour
dissuader les malfrats. Mais au Sénégal, c’est toujours médecin après la
mort.